Rebecca
Bon, j'avoue, je me suis terriblement ennuyée avec Rebecca, durant la majorité du livre...
Je sais, tout le monde trouve ce livre extraordinaire. C'est d'ailleurs celui qu'on m'a 1000 fois conseillé lorsque, l'année dernière pour le challenge solidaire, j'avais dit avoir lu et aimé Les oiseaux de l'autrice.
Même plume, même angoisse qui monte en puissance mais la différence réside dans le nombre de pages peut-être...
640 pages pour cette nouvelle traduction. Sur 640 pages peu, bien trop peu d'action. Un peu de psychologie des personnages mais surtout, surtout, des descriptions à n'en plus finir. Des détails qui n'apportent rien et m'ont assommée. Une narratrice insupportable de candeur et de rêveries.
Il m'a fallu un peu plus de 15 jours pour finir ce livre car je papillonnais sans cesse vers d'autres titres tant Rebecca m'ennuyait.
Une jeune femme, tellement insignifiante qu'on ne connaîtra jamais son prénom, épouse Maxim de Winter. Celui-ci est veuf depuis un an et vit dans un somptueux manoir, Manderley.
La première Mme de Winter était une femme en tous points différente de la nouvelle épouse et son souvenir hante toujours lieux et protagonistes. La timide et naïve nouvelle épouse trouvera-t-elle sa place dans l'ombre de l'inoubliable Rebecca ?
J'aurais peut-être plus apprécié ce titre après quelques coupes, car la fin est tout de même sympa à lire.
Les romans "d'ambiance" ne sont définitivement pas ma tasse de thé. Les ambiances romantiques non plus.
Je suis tout de même contente de l'avoir lu, ne serait-ce que pour le Rory Gilmore Reading Challenge et le Challenge solidaire, mais il ne m'a pas autant emballée que d'autres lecteurs...
Ce n'était peut-être pas le bon moment ? Je l'aurais sûrement adoré il y a une vingtaine d'années...
Je retenterai peut-être un autre titre de Daphné du Maurier si l'occasion se présente.
Un manoir majestueux : Manderley. Un an après sa mort, le charme noir de
l’ancienne propriétaire, Rebecca de Winter, hante encore le domaine et
ses habitants. La nouvelle épouse, jeune et timide, de Maxim de Winter
pourra-t-elle échapper à cette ombre, à son souvenir ?
Immortalisé
au cinéma par Hitchcock en 1940, le chef-d’œuvre de Daphné du Maurier a
fasciné plus de trente millions de lecteurs à travers le monde. Il fait
aujourd’hui l’objet d’une traduction inédite qui a su restituer toute la
puissance d'évocation du texte originel et en révéler la noirceur.
Cette
nouvelle traduction retranscrit remarquablement les atmosphères nimbées
de mystère et l'ambiguïté – si chère à Hitchcock – des personnages,
qu'ils soient morts ou vifs. Marine de Tilly, Le Point.
Rebecca est un de ces romans qui hantent un esprit toute une vie.Olivia Mauriac, Figaro Madame.
Une excellente traduction qui permet de redécouvrir ce roman indémodable et subtil. Olivia de Lamberterie, Elle.
Éditions Le livre de poche
640 pages
8,90€
ISBN 978-2253067986
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