Le vent dans les saules
Tendresse
J’ai fini à
l’instant Le vent dans les saules, ce grand classique de la littérature
jeunesse britannique que j’avais très envie de découvrir (au point de le
proposer en LC pour le Cosy Classics aux copines).
Nous allons suivre les mésaventures d’une taupe, d’un rat d’eau, d’un crapaud et d’un blaireau.
On
se laisse emporter sur la petite embarcation de Ratty, on découvre la
vie d’une forêt et de ses habitants plus ou moins sages…
Chaque
chapitre nous conte une nouvelle aventure, un nouveau moment de vie.
Parfois drôle, parfois plus nostalgique mais toujours plein de
tendresse.
On s’attache même à ce vantard de Crapaud !
C’est
une lecture poétique, très cosy. Manquant sûrement d’action pour les
jeunes lecteurs d’aujourd’hui mais qui a ravi la lectrice amatrice de
romantisme suranné que je suis…
J’ai particulièrement aimé le
chapitre nommé Dulce domum. M. Taupe m’a serré le cœur… L’importance du
foyer, toutes ces petites choses qui font que l’on est bien chez soi, la
valeur sentimentale plutôt que la valeur marchande.
Et bien sûr, l’importance de l’amitié, de la nature, du respect de soi et des autres.
Ce fut une lecture très douce, qui m’a enveloppée et m’a donné envie de flâner au bord d’une rivière.
Un joli moment !
Un matin de printemps, M. Taupe est attiré hors de son logis par les bruissements de la nature. Son chemin va croiser celui de l’astucieux M. Rat, de l’imposant M. Blaireau et, surtout, de l’incorrigible et vaniteux M. Crapaud. Entre après-midi de canotage, expéditions périlleuses dans le terrible Bois Sauvage et embarquées fantastiques, les quatre amis vont vivre d’inoubliables aventures.
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