Luminaries T02 La lune chasseresse
Dans la forêt hantée
Vous cherchez de l’urban fantasy halloweenesque pour votre ado ? Luminaries devrait répondre à vos attentes. (Mon avis sur le tome 1 ICI)
Winnie Wednesday a toujours rêvé de devenir chasseuse dans sa communauté de Luminaries afin de tuer les cauchemars qui envahissent la forêt chaque nuit. Mais sa famille a été rejetée de la communauté à cause du père de Winnie, accusé d’être un Diane, un ensorceleur maléfique.
Dans ce second tome, Winnie touche presque du doigt son but mais elle va devoir affronter des cauchemars encore plus terrifiants. Entre loup-garou, chuchoteur et ses anciens meilleurs amis, Winnie va devoir mener une enquête dont les réponses vont bouleverser ses convictions les plus profondes…
J’ai passé un très bon moment de lecture avec ce second tome.
Comme dans le premier, l’action n’est pas toujours présente, l’autrice préférant « s’attarder » sur des moments de vie de Winnie. Ce côté très pré-ado - avec cours, meilleures copines et premiers émois amoureux - ne plaira pas forcément à tout le monde mais j’étais cette fois dans un bon mood pour ce type de lecture et j’ai beaucoup aimé. L’intrigue se complexifie et le côté enquête m’a totalement emballée.
D’autant plus que l’univers est vraiment très sympa.
La plume de Susan Dennard est très immersive et je n’ai eu aucun mal à me représenter cette forêt envahie de brume et ces monstres.
Ce second tome répond à quelques questions - celles dont on devine assez rapidement les réponses mais il en reste encore beaucoup et cette fois je n’ai aucune idée de ce que l’autrice nous réserve.
Je suis donc très impatiente de découvrir la suite !
La petite romance est absolument charmante !! C’est un vrai slow-burn, plein de tendresse et très crédible. Même si on la voit venir on l’appelle de nos vœux et on pousse un « enfin ! » ravi quand la scène la plus mignonne qui soit arrive.
Une chouette saga pour s’initier à l’urban fantasy dès 13 ans.
« On dirait que les cauchemars n’apparaissent que lorsque tu es dans le coin, Winnie. »
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